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7 mai 2008 3 07 /05 /mai /2008 12:18

Réponse faite hier devant l'Assemblée par le Premier ministre à Monsieur Jean Leonetti, député UMP.


Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs les députés,
Monsieur le député,

Depuis un an, sous l’autorité du président de la République, avec le Gouvernement et la majorité, nous avons l’honneur de conduire notre pays. La première chose que je voudrais vous dire en cet anniversaire, c’est que nous avons tenu les engagements que nous avions pris devant les Français. Et nous avons engagé la moitié des promesses qui avaient été celles de Nicolas Sarkozy et des parlementaires de la majorité, pour changer en profondeur notre pays.

Nous avons réformé les universités qui, désormais, optent presque toutes pour le statut d’autonomie qui leur a été proposé. Et dans le même temps, nous avons augmenté de manière considérable les moyens de l’enseignement supérieur et de la recherche, parce que pour nous, l’avenir est notre priorité absolue.

Nous avons engagé la libération du travail avec une première étape, qui est la défiscalisation des heures supplémentaires. Cette première étape a déjà donné lieu à une augmentation au mois de mars de 28 % des heures supplémentaires. Mais ce n’est qu’une première étape vers l’objectif qui est le nôtre, qui est de sortir définitivement du carcan des 35 heures. Et surtout, mesdames et messieurs les députés, les heures supplémentaires défiscalisées, c’est le signe d’un changement profond dans notre pays. Car qui, aujourd’hui, parle encore de "RTT", de "diminution du temps de travail", de "partage du temps du travail", comme une solution aux problèmes de l’économie françaises ? Ceux qui disent "nous", ils sont minoritaires dans notre pays, et ils continuent à vouloir lui imposer un traitement qui a été à l’origine de bien des maux dont nous pays a souffert.

Nous avons engagé la mise en œuvre de "la flexi-sécurité", que tout le monde met dans ses programmes de campagne sans jamais le faire, avec la fusion de l’ANPE et de l’Unedic, avec la mise en œuvre du nouveau contrat de travail qui a été décidé par les partenaires sociaux, et je voudrais faire remarquer à l’Assemblée nationale que c’est la première fois depuis les années 60 que des partenaires sociaux se mettent d’accord sur une réforme du contrat de travail. C’est aussi un signe que le dialogue social dans notre pays progresse.

Nous avons supprimé les droits de succession pour 95 % des Français. Nous avons instauré le service minimum dans les transports et à l’école, c’est une mesure qui est plébiscitée par nos concitoyens. Nous avons réformé les régimes spéciaux de retraites qu’on disait impossibles à réformer. Et en le faisant, nous permettons l’harmonisation désormais progressive de tous les régimes de retraites. Ceux qui continuent de critiquer ces mesures, sont les mêmes qui réclamaient en 2003 l’abrogation de la loi sur les retraites, et qui maintenant nous expliquent que, "40 ans ça va bien, mais 41 ans ce n’est pas possible". Encore un effort, mesdames et messieurs de la gauche, et vous ferez ce qu’ont fait tous les partis de gauche en Europe, c’est-à-dire que vous aurez participé au sauvetage des régimes de retraites de votre pays.

Nous avons instauré les peines planchers - on disait que c’était impossible - : plus de 7.000 peines planchers ont été prononcées par les tribunaux. Nous avons mis en œuvre la loi de rétention de sûreté, dont on voit encore avec les événements récents combien il était nécessaire de légiférer sur ce sujet. Nous avons mis en place le crédit d’impôt sur les intérêts d’emprunt pour ceux qui veulent acquérir leur logement, au moment même où le marché du logement dans notre pays avait besoin de cette mesure de soutien.

Et enfin, et peut-être surtout, nous avons débloqué la crise européenne. Nous le devons essentiellement à l’action du président de la République, et je veux dire que seul Nicolas Sarkozy était en mesure de débloquer la crise européenne car il était le seul candidat à s’être engagé avant la campagne, et sur le contenu du Traité simplifié, et sur le vote par le Parlement de ce Traité simplifié. N’importe quel autre candidat se serait trouvé en situation de blocage.

Voilà, Mesdames et Messieurs les députés de la majorité, le bilan d’un cinquième du quinquennat. Et je voudrais vous remercier du travail qui a été le vôtre et de votre engagement dans ce bilan.

Alors, évidemment, il reste encore beaucoup à faire. Il reste beaucoup à faire pour atteindre le plein emploi, ce que nous allons faire avec la réforme de l’assurance chômage et en particulier la mise en œuvre de la dégressivité des indemnités de chômage pour les chômeurs qui refusent plus de deux offres d’emploi "raisonnables". Nous allons nous engager à réduire la pauvreté d’un tiers en cinq ans, et l’arme principale de cette lutte contre la pauvreté ce sera le Revenu de solidarité active. Nous allons agir pour la croissance et le pouvoir d’achat avec la loi de modernisation de l’économie, en introduisant plus de concurrence dans notre économie. Chacun se souvient qu’à chaque fois qu’on a introduit plus de concurrence dans notre économie - je pense en particulier aux télécommunications -, on a obtenu une baisse des prix et une augmentation de l’offre de service.

Nous allons engager la réforme de la représentativité syndicale et du dialogue social, en nous appuyant sur une position commune signée par les partenaires sociaux. Nous allons mettre en œuvre les engagements du "Grenelle de l’environnement". Et enfin, j’en terminerai par là, mais je voudrais rappeler à l’opposition qui ignore une nouvelle fois les règles de la Constitution, que lorsque le Premier ministre s’exprime, il s’exprime comme il veut à l’Assemblée nationale ! Mais peut-être est-ce que cela vous gêne d’entendre mis en œuvre l’ensemble des engagements du président de la République ! Eh bien, nous allons terminer par la réforme de la Constitution pour adapter la Constitution de la Vème République à l’évolution de la société française, pour donner plus de pouvoir au Parlement.

Mesdames et Messieurs les députés, la majorité peut être fière du travail qu’elle a accompli. Naturellement, il reste quatre ans pour mettre en œuvre l’ensemble des engagements qui sont les nôtres. Mais je voudrais solennellement dire devant vous, que rien ne nous détournera de notre objectif, et cet objectif c’est une France plus forte, qui protège mieux ses citoyens.

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commentaires

J
Il devient urgent que vous donniez du souffle a la restauration et vous baissiez la TVA... le Deux fourchettes d'a coté a decidé de n'ouvrir que le Week-end (VSD)et sur reservation groupe...je ne vous dis pas l'etat sur le reste de la ville! les dépots de bilan se profilent...doit on dire demain adieu aux formations des apprentis, et a moyen terme a l'exinction de la gastronomie Française ?il faudrait que l'europe refflechisse a quelle vitesse elle veut aller à la faillite?
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J
J'aimerais avoir votre avis sur mes 5 solutions pour amortir la conséquence sur le pouvoir d'achat de la flambée du pétrole : http://jojo13.over-blog.net/article-20357338.htmlMerci
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Z
j'ai suivi partiellement votre débat (j'ai forcement dû aller travailler pas evident d'avoir des heures...) bref c'etait sympa...bon ok! vous nous avez bien précisé que vous etiez deux a désensabler la France et que globalement vous etes  synchro: c'est ce que compte  (ça fait plus les titres dans la presse...mais les aides pour faire face à l'augmentation du prix de l'essence c'est ce qui nous interesse vraiment...)un petit doigt libanais me dit hier soir que certains libanais prefereraient que ce soit "la France" qui exploite son sous sols.A priori si vous la jouez finement...les americains n'ont aucune chance...un libanais ne cedera jamais: le proverbe "tu as mal... ton adversaire encore plus."
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Z
je ne vous envie pas les décisions à prendre ...!Les nouveaux moteurs (peugeot et renault ??)doivent etre prets plus rapidement .il semble que des aides existent pour le changement d'energie ? ne faut il pas booster ces modifications d'energie (l'etat ne pourra pas continuellement donner des chèques qui devront etre de plus en plus conséquents (autant crediter aujourd'hui les deux tiers d'une installation ou develloppement d'adaptation avec  corps de chauffe electrique...)vous devriez proposer le choix: une installation ancienne consomme plus et "ruine "le propriétaire...il est grand temps que les transports routiers etrangers passent à la caisse (péage) rouler le week end c'est de l'or pour les routiers etrangers !en ce qui concerne Carhaix les habitants souhaitent conserver leur maternité, la ville et le conseil général ne peuvent ils pas gerer l'entretien de l'hopital et en contre-partie conserver les poste de sage femme et  gynecologue.(il ne faut pas négliger l'ancienne gestion  a priori désatreuse de cet hopital)y a t il des praticiens ? les futurs hopitaux bretons draineront une importante population _ certaines zones "se densifieront" de manière differente".
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G
Monsieur le premier Ministre,Rien ne vous détournera de votre objectf. Cela a le mérite d'être clair, mais si avant l'élection présidentielle vous aviez parlé de la fermeture des services de certains hopitaux (dans le centre Bretagne et à Carhaix en particulier) pensez vous que nous aurions voté pour vous UMP ? Quant à moi j'ai l'impression d'être trahie, on voit bien que vous ne vivez pas dans la même FRANCE que nous les citoyens "de base". Nous avons besoin de notre maternité pour que les jeunes restent dans notre région. Ils y sont attachés et n'ont pas envie d'aller s'agglutiner dans la région parisienne.<br /> N'avez vous pas peur d'être, vous et vos collègues, tenus pour responsables de tout ce qui pourrait être fait suite à une grande détresse de personnes qui n'ont plus rie à perdre puisq'ils n'ont plus rien. Cette violence que l'on sent poindre pourra difficilement être contenue.Je n'attends pas de réponse mais je voudrais vous faire part de l'angoisse que nous ressentons dans notre ville de Carhaix-Plouguer.Mes respects Monsieur le premier Ministre
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Z
ah enfin... Monsieur Copé prévient des blessures "inutiles"!
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A
Monsieur le Premier Ministre,Tout d'abord, bravo pour cette année au sein de Matignon. Bravo de rester "au dessus de la mêlée" et de continuer à servir la France. Ma réaction aujourd'hui vient en partie du fait du blocage des pêcheurs et bientôt des routiers.Il est important que vous repreniez l'initiative en déclenchant des états généraux de la pêche et également du transport routier. Il est indispensable aujourd'hui, que le monde de la pêche se repense, construise un nouveau business model car le Pétrole n'est pas amené à diminuer dorénavant. Cependant, ils ne pourront faire cet effort de se repenser qu'avec l'aide de l'Etat. Il faut qu'ils se modernisent, qu'ils pensent à s'équiper de nouveaux moteurs, etc. Et ce qui est dit pour la pêche est aussi valable pour le transport routier. Ces derniers souffrent directement du Pétrole Cher et il est INDISPENSABLE, Monsieur le Premier Ministre, que vous repreniez la main sur ce sujet. Pour dire à tous les citoyens que vous prenez la mesure de l'enjeu et qu'il est nécessaire d'aider ce secteur mais également de le réformer car le prix du pétrole n'est plus amener à baisser. Les pêcheurs ne peuvent constamment vivre de l'aide de l'ETAT et il faut qu'ils se repensent.Merci Monsieur le Premier Ministre et bon courage
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Z
A tous les deux, certes je ne suis pas grand chose mais avec insolence je vous demande de vous "réconcilier": en effet tous ces bruits caco-politico-médiatico-phoniques ne donnent a aucun moment le "la" d'une belle oeuvre politique ( dont l'ecriture est proche de la partition de la"flute enchantée")  . pire, à l'exterieur du chateau (parce que tout semble s'y décider ,sans expertise) la foule se rassemble et elle tourne la tete à gauche ( regarde avec dedain les freres ennemis socialistes),certes vous pouvez peut etre vous enorgueillir d'avoir gravement blessé le dragon de l'autre extreme. mais la fronde blogeuse de gauche fera l'assaut du chateau. le benefice de cette bonne politique sera du velours pour vos successeurs qui seront d'extreme ......
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J
Bonjour, ne convient il pas  d'aider le secteur de la peche en baissant les taxes des carburants pour les "flottilles " de moins de x bateaux de peche.par solidarité "je suis ok "pour qu'un pourcentage de la note de mon plein de gasoil "subventionne" leur litre de gasoil .il faut plancher sur de nouveau moteur pour armer ces bateaux.a force d'augmentation du petrole devra t on désaffecter certaines zone estivales trop "distantes" ?
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C
A chaque époque correspond une<br /> méthode en fonction des hommes, des femmes et des nécessités.<br /> La France est entrée dans une<br /> période de son histoire qui nécessite de façon urgente la mise en œuvre des<br /> réformes ou engagées ou reportées pour diverses raisons.<br />  <br /> Par définition la démocratie<br /> donnant la souveraineté au peuple on peut à loisir penser à nombre d’interprétation<br /> quand à l’exercice de la dite souveraineté.<br />  <br /> En observant la situation de<br /> notre pays depuis une trentaine d’années, on s’aperçoit à posteriori que des<br /> options différentes auraient pu être choisies. Et je pense à ce propos qu’il<br /> manque un « compte réactif de provisions des idées et des<br /> comportements ». Un compte réactif qui aurait pour intérêt de recadrer<br /> rapidement une mauvaise orientation. Sans doute un certain nombre de<br /> laboratoires d’idées existent, mais ils sont davantage des chapelles ouvrant<br /> droit à la querelle plus qu’à la synergie des idées.<br />  <br /> Pendant une trentaine d’années,<br /> les citoyens ont cautionné ceux qu’ils élisaient et les élus forts de cet appui<br /> éphémère et versatile ont négligé ou méconnu les risques auxquels toute<br /> entreprise ou organisation est soumise, celui d’un quasi-immobilisme béat,<br /> bercé tendrement par le bien-être et le « repos du guerrier », alors<br /> que les troupes ennemies approchent.<br />  <br /> A. Il faut à l’heure actuelle du<br /> pragmatisme, du volontarisme, du souci de l’efficacité, de l’intégrité, de la<br /> réalité.<br />  <br /> <br /> Faut-il changer les institutions ?<br /> faut-il adapter les institutions, en quelque sorte<br /> les rendre compatibles avec les comportements, le contexte global ?<br /> quel est le rôle d’un Président de la République,<br /> d’un Premier Ministre, d’un Ministre, d’un Sénateur, d’un Député, d’un<br /> Député européen, d’un Conseiller Régional, d’un Conseiller Général, d’un Président<br /> de Communauté de Commune, d’un Maire, d’un Conseiller Municipal ? Leur<br /> fonction correspond-t-elle à une réalité politique, économique,<br /> sociale ? Leur fonction est-elle efficace, est-elle en phase avec la<br /> réalité ? Leur fonction est-elle contemporaine ? Tous ces<br /> niveaux sont-ils nécessaires ? Combien de personnes pourraient vivre<br /> des postes de responsabilité mis à la disposition des élus avec la manne<br /> généreuse du contribuable ? En omettant volontairement les<br /> personnalités politiques qui se nourrissent des revendications populaires<br /> par idéologie, combien de personnalités politiques peut-on nourrir avec<br /> une partie des postes détenus par une seule personne, afin de répondre à<br /> une nécessité de répartition ?<br /> Combien d’instances politiques, économiques,<br /> sociales traitent des mêmes sujets, chacunes de leur côté, faisant doublons,<br /> voire davantage ?<br /> Combien de lois, d’articles, ont été déposés,<br /> débattus pendant des heures, des jours, des nuits, adoptés, juste par<br /> souci d’un passage dans la postériorité ou d’un besoin de publicité ?<br /> <br /> Peut-on envisager qu’une partie<br /> du personnel politique soit reconvertie en personnel technique avec les<br /> compétences nécessaires afin de dégager un potentiel d’efficacité ?<br />  <br /> B. DEPENDANCE ENTRE ELU ET<br /> CITOYEN, PREROGATIVES DES ELUS.<br />  <br /> Un jeu pervers existe entre l’élu<br /> et le citoyen. Le citoyen envoie son représentant vers une fonction et attend<br /> le retour de l’ascenseur. Ce jeu est une réalité de toujours. Il n’est pas<br /> question de la nier mais davantage de la rendre morale. Ce sont les abus qui<br /> sont répréhensibles. C’est le citoyen qui paie la facture de l’Etat.<br />  <br /> Un élu ne peut pas se permettre<br /> de dilapider l’argent public. L’effort collectif doit être mis au service de la<br /> collectivité et non d’un individu. Un élu ne peut pas multiplier par trois le<br /> coût d’une dépense, qu’il s’agisse d’un voyage ou d’un investissement public.<br />  <br /> C. PROPOSITIONS<br />  <br /> <br /> définir le périmètre des mandats ou plus exactement<br /> la rémunération globale des fonctions revenant à une seule personne.<br /> Donner à la fonction politique la notion de métier<br /> avec les mêmes garanties et les mêmes risques que tout salarié.<br /> Soumettre l’élu à un contrôle permanent d’intégrité<br /> et un suivi régulier de son activité.<br /> Donner à l’élu la rémunération selon l’activité et<br /> le résultat qui s’apprécie globalement sur l’amélioration du statut et du<br /> niveau du couple citoyen-nation. <br /> Amoindrir la dépendance élu-citoyen. A l’heure<br /> actuelle l’élu est conditionné par sa réélection donnant lieu à une<br /> moindre efficacité et à une compétition parfois agressive vis-à-vis de ses<br /> concurrents, faisant les belles heures des médias et trompant le citoyen.<br /> Etablissement d’un Droit d’Initiative Populaire<br /> pouvant conduire à une expression populaire devant une des chambres<br /> parlementaires.<br /> Sécurisation et charte de la sphère internet afin<br /> que cet outil moderne de communication qui dépasse les barrières des<br /> frontières et des systèmes puisse intégrer le débat démocratique et<br /> contribue à l’exercice d’une démocratie laïque directe.<br /> <br />  <br /> C. NIVEAUX DE DEMOCRATIE.<br />  <br /> <br /> La Commune est le premier niveau de la démocratie,<br /> celui du terrain. Son type d’élection reste identique mais l’élection du<br /> premier magistrat de la commune ouvre sur la fonction de Délégué à la<br /> Communauté de Communes. Le statut de Maire disparaît. La technicité<br /> devient du domaine de compétence du niveau supérieur, rassemblant plus de moyens<br /> et de compétence.<br /> Les délégués des Communes élisent un Président de<br /> la Communauté de Communes.<br /> Le Conseil Général et le Conseil Régional disparaissent<br /> pour  être remplacé par un Conseil<br /> de Régions européennes. Les Conseillers de Régions Européennes délèguent<br /> des Conseillers Européens pour siéger au parlement européen.<br /> Les Députés voient leur nombre diminuer pour ne pas<br /> dépasser la barre des 400. Ils sont élus sur liste. La Chambre des députés<br /> devient un véritable lieu de débats, de propositions et non une foire<br /> d’empoigne ou un jeu de massacre ou un trompe-citoyen.<br /> Le Sénat conserve un mode de scrutin identique et<br /> devient le garant des Institutions. Le Conseil Constitutionnel est<br /> dissout.<br /> Le Président de la République et un Vice-président<br /> sollicitent les suffrages des citoyens en conservant le même mode de<br /> scrutin. Le Président intervient devant l’Assemblée Nationale, conduit<br /> avec le Vice-président, dont dépendent les Ministres, la politique qui a<br /> été approuvée lors de l’élection du Président. <br /> <br />  <br /> Claude<br /> Simonnet
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G
Deux remarques :1) Finalement, l'euro fort ne reflète que la dégradation du dollar et le maintien de notre pouvoir d'achat. Que les entreprises innovent pour vendre des produits nouveaux et pour maintenir ou augmenter les salaires, c'est la seule solution. Il faudra aussi bien entendu que les salariés s'adaptent, et soit formé pour élèver le niveau de leur qualification, mais c'est la seule solution.L'alternative serait la dévaluation qui maintiendrait par facilité les parts de marché de nos entreprises sans besoin d'innovation, mais augmenterait immédiatement les prix des matières premières donc attaquerait notre pouvoir d'achat.Il est plus facile à une entreprise ou une collectivité d'innover en groupe et en masse, qu'un particulier d'innover sur ses dépenses personnelles.Voilà ce que représente l'euro fort.D'ailleurs, il suffit de regarder ce qui s'est passé ces 4 dernières semaines où l'euro a baissé. Immédiatement, le prix du carburant à la pompe est reparti fortement à la hausse.2) Le litre d'essance à 1,5 euros ou le litre de gasoil à 1,40, nous sommes tout près maintenant du 3e choc pétrolier.Nous allons atteindre le seuil psychologique qui déclenchera d'abord une diminution des sorties de nos concitoyens, qui ira simultanément avec une diminution de l'activité des entreprises à cause de leurs achats.Attention !Il est urgent maintenant de trouver comme moyen de locomotion une énergie alternative qui ne fasse plus autant souffrir nos concitoyens lorsqu'il prenne leur véhicule.Parce que les pays en voie de développement eux continuent d'acheter des véhicules donc continuent à faire monter le prix du baril.Innover, innover, innover.3) Accélérez votre mouvement de reflux des dépenses publiques et vos réformes dans ce sens, car si nous entrons en ralentissement ou récession, nous aurons besoin sans tarder d'une accélération de la politique de relance de l'investissement et de l'innovation,voire de soutien.Si vous ne vous êtes pas constitué une marge de maneouvre financière, vous êtes pieds et poings liés condamnés à subir (les allemands eux ont ramené leurs comptes à l'équilibre et ont cette marge de manoeuvre, c'est d'ailleurs pour cela qu'ils nous en mettent une sacré déculottée industrielle en ce moment).2,2 % de croissance, c'est mieux que prévu, continuons, continuons.Foncez, foncez, foncez. .... Et bon courage.
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J
Il faut saluer la prise de position de Jean-Claude Mignon concernant le régime Birman, enfin quelqu'un qui s'exprime clairement ... BRAVO
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G
2,2 % de croissance en 2007 : yes !6 mois de plus, il fallait attendre.Partout, le pays se réveille.Maintenant, il faut nous inventer une voiture qui ne fonctionne plus au pétrole, parce que de 50 euros pour un plein de 30 litres, ou 100 euros pour 60 litres, nous sommes ici bas au seuil de décrochage psychologique.Alez, allez, allez, on se bouge, on se bouge.
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C
Quelles que soient l’âpreté et la ténacité des vents dominants, la France se doit urgemment d’affirmer sa personnalité en appliquant au temps présent ses valeurs politiques, économiques et sociales, ses capacités de rassemblement, de rénovation et d’innovation. Pour permettre à notre Etat, notre pays et notre société de s’affranchir du déclin entamé, il n’y avait qu’une stratégie à engager, celle que vous avez choisie : la rupture par l’ambition et la réforme par l’action. <br /> Alors, au risque de bousculer les situations établies, il fallait bien tout attaquer de front et simultanément parce que dans ce pays profondément jacobin, tout est étroitement lié. Tout relâchement, tout contournement, tout renoncement serait politiquement affligeant et irrémédiablement compromettant en termes de légitimité, de crédibilité et d’autonomie sur le nouvel échiquier mondial. Notre pays ne peut tenir un rang élevé parmi les puissances émergentes uniquement s’il va de l'avant, s’il incarne l'impulsion plutôt que la soumission et que ses pouvoirs publics s'attachent à la réalisation de vastes ambitions.<br /> À la fatalité, la lâcheté et la frilosité des mandats précédents qui ont tellement paralysé et fragilisé le pays, votre gouvernement oppose la responsabilité, la loyauté et la ténacité. <br /> Certes, il n'est pas de réforme en profondeur qui ne bouscule des situations acquises et donc qui ne doivent subir l'épreuve de la contestation. Croire qu'il existe une méthode rendant la réforme acceptable est une vue de l'esprit. Tout changement attise les craintes et semble illégitime, car le statu quo le plus inacceptable paraît moins angoissant que le changement. <br /> Et pourtant, c’est par la combinaison et l’amplification des réformes initiées depuis un an par le gouvernement que la France a une chance unique de reconquérir enfin la place qu’elle mérite et de relever la ligne d’horizon des générations à venir. Il est temps d’opérer la rupture et de cesser de renvoyer outrageusement aux générations futures la facture de nos faiblesses actuelles. <br /> Résolument différent, collectivement audacieux, courageux et valeureux le gouvernement a le talent et le tempérament pour renverser la tendance et nous réinventer une France fière qui avance. Accordons lui juste temps et confiance pour conduire méthodiquement cette œuvre immense…. <br /> Un an, ne peut raisonnablement pas être le temps des bilans, des remaniements ou des regrets mais juste celui du souvenir émotif d'un avènement décisif.<br /> <br /> Alors Bon Anniversaire Monsieur le Premier Ministre.<br /> <br /> Rajoutez de la vie, de l’envie et de l’énergie à cette deuxième année de gouvernement et des années à votre vie à la tête de notre pays. <br /> En vous souhaitant toute la réussite et le bonheur possible, <br /> Loyalement, <br /> <br /> Caroline<br />
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M
 « La meilleure façon de<br /> dire la vérité, c'est de ne pas mentir. »<br /> <br />  <br /> Maisons-Laffitte, le 15<br /> mai 2008<br />    <br /> Monsieur le Premier Ministre,<br />   <br /> Permettez-moi de vous faire part<br /> de mon inquiétude sur l’évolution actuelle des rapports entre le pouvoir<br /> exécutif et la majorité parlementaire – et plus particulièrement avec le groupe<br /> UMP de l’Assemblée nationale. Les paroles malheureuses du Secrétaire d’Etat à<br /> l’Ecologie semblent y avoir laisser des traces et il serait imprudent de<br /> feindre qu’il n’y a là aucun danger.<br /> On ne gouverne pas contre sa<br /> majorité parlementaire. A l’heure où, paradoxalement, le Président et vous vous<br /> proposez de renforcer le pouvoir du parlement et de limiter le pouvoir<br /> discrétionnaire de l’exécutif en encadrant l’usage de l’article 49-3, cette<br /> vérité de la Palice devrait pour vous prendre d’autant plus de sens que ses implications à venir<br /> risquent d’être de plus en plus nombreuses et que les manquements à ce principe<br /> risquent de porter à conséquence de manière toujours plus critique.<br /> Il n’est par ailleurs, il me<br /> semble, nullement dans l’intérêt du Président de la République que de<br /> continuer à chercher à marginaliser Jean-François Copé. Cet homme plein<br /> d’énergie et de talents doit trouver une place à sa mesure au sein du<br /> dispositif d’Etat. Sa fougue semble plutôt le prédisposer à l’action<br /> gouvernementale qu’au placide examen critique des projets de loi en assemblée.<br /> Il ne fait aucun doute qu’il<br /> continuera à prendre de l’envergure dans paysage politique français. La seule question<br /> qui se pose vraiment est de savoir si cela se fera contre le Président ou à son<br /> service et pour son plus grand bénéfice. S’il devait continuer à le mettre à l’écart<br /> de l’action gouvernementale, alors il est certain – car cet homme ambitieux<br /> n’aurait d’autre choix afin d’exister – qu’il se construira contre l’action du gouvernement. Si au<br /> contraire le Président avait l’audace de croire suffisamment en ses propres<br /> forces et à sa capacité à canaliser l’énergie de cet ambition et à la mettre au<br /> service de la rénovation de la société française qu’il a entreprise avec vous,<br /> s’il avait l’intelligence de ne pas commettre avec lui la même erreur que celle<br /> que J. Chirac a commise à son endroit en 1995, alors ensemble vous pourriez<br /> accomplir de très grandes choses.<br /> N’y a-t-il donc pas suffisamment<br /> de chantiers engagés pour que tous nos talents et toutes nos énergies trouvent<br /> à être employés harmonieusement dans le concert de l’action<br /> gouvernementale ? Allons-nous une nouvelle fois sombrer par nos divisions et<br /> être incapable de conduire ce renouveau, non par faute de talents mais parce qu’on<br /> en aurait trop ? Ne serait-ce pas un brin absurde ?<br />  <br /> Mes respectueux respects,<br /> Monsieur le Premier Ministre<br /> Médéric L. Pascal
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S
@ la salle Gaveau, tandis que JP .Raffarin nous contait son "cauchemar" vous êtes apparu comme dans un rêve ! Monsieur Le Premier Ministre et celui -ci devint réalité , sous la "standing ovation " à laquelle j'ai participé avec grande émotion ! N'en déplaise à la Gauche ! vous étiez là dans cette salle mythique , celle de la VICTOIRE  ! et l'ambiance était très chaleureuse .Votre intervention si juste et magnifique prouve que  votre détermination à servir notre PAYS est intacte et que malgré les difficultés vous maintiendrez le cap ! cela signifie que La France est entre de bonnes mains ...chanter ! la Marseillaise à l'unisson avec VOUS ! fût un grand moment d'une militante comblée .Il y a un an déjà ! que notre Président vous nommait à MATIGNON ..Félicitations pour le travail accompli ! Bon Anniversaire à vous ! Cher Monsieur Fillon .Fidèlement @SarahH
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Z
@ Monsieur Devedjian: j'ai bien recu son petit message|sondage je ne donne pas un centime d'euro a l'UMP tant que je ne suis pas certain que Fillon reste au gouvernement jusqu'au bout!
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M
Bonjour Mr Fillon,<br /> Sarthois de coeur et de tradition je suis fier de votre travail dans le gouvernement, je me suis permis d'ajouter le site de mon blog consacré aux industries agro alimentaires de la Sarthe. Bonne navigation au plaisir de vous revoir en Sarthe..
Répondre
J
ok s'il est vrai que  chacun aura ou pourra vérifier la réalité de ces engagements, il n'en reste pas moins que l'etat devra aussi regarder quelles sont ses poches percées, deux faits :1_ en rapport avec la TAA( t2a) sur le papier medicalement un patient du fait de l'urgence "passe" une coronarographie l'examen se passe bien ! un peu plus tard? il en passe une autre à cette occasion:on lui pose un Stent! vous me direz l'equipe assure : et c'est un fait ! mais lorsque vous savez (en bon professionnel) que cela pouvait etre fait "en une passe", que l'objectif de l'etablissement est d'en faire plus de 4000 par an ,qu'un medecin "non cooperant" ne conservera pas son poste dans cet établissement : vous penserez certainement comme moi que sur les 400 000 euros (+ de 1000 € x 4000 coro)(minimun que coutent ces actes "remboursés" )il y a une bonne part qui pourrait etre "évité"? (biensur cet  exemple est un "petit" détail").La TAA n'est pas la panacée (elle est selon moi l'antithése de l'economie de santé).2_ hier un patient me raconte : entrepreneur batiment a force de stress "en recherche de marché", il prete souventson bateau(avec le plein), sa Bmw avec telephone(avec le plein), pendant un mois sa maison au bord de la mer, etc ..., vous vous rendez compte le gars, qui au conseil general signera le "bon " pour travaux d'un simple bureau du CG n'a meme pas la décence de refaire le plein des "véhicules".Alors forcement la facture du simple bureau s'en trouve alourdie par ces deux pleins de carburants, la facture téléphone-voiture de 1000 euros et autres divers... _Bref a l'heure d'internet subversif meme si l'info se fait souvent de n'importe quoi ! (parce que pour certains,etre celebre semble plus important qu'etre citoyen)Les réalités eclatent au yeux de ceux qui enragent et paient "ces bonus".____________message subliminal_En fin d'année les sociétès qui ont investi en chine(cohésion nationale post Olympique oblige)ne  risquent elles pas de s'en mordre les doigts._Alors qu'elles avaient l'opportunités de se et de devellopper ici?_________en matière d'environnement et d'economie: la recuperation des matières n'est elle pas en ces temps de pénurie une opportunité.___________ l'ump, le gouvernement dessine une société nouvelle , pendant que le PS recopie a la main l'architecture de la maison UMP._ la police routiere en civil c'est bien surtout quand  lorsqu'a 20h(pendant que les forces de l'ordre dinent ?)  un gars au téléphone vous double a plus de 160 km(?) avec son 4x4 sur une route limitée à 110 km.
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T
on va supprimer des fonctionnaires ( comme cela il y aura plus d'anes en france )  mais d'un autre coté vous voulez que les fontionnaires travaillent plus longtemps  ( augmentation du chomage ) les caisses sont vides mais les riches eux sont encore plus riches de toutes facon tous vos bla bla bla dans 4 ans la gauche remetra de l'ordre vous copiez sur l'amerique ce n'est pas une reference pourquois lagarde est elle revenue en france?
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M
Je voudrai vous souhaiter - avec quelques jours d'avance - un bon premier anniversaire à Matignon! Sans doute que la tâche a été rude, et d'autant plus que le comportement de NS aujourd'ghui président reste...imprévisible!Je vous remercie de la ténacité, de l'assiduité et de l'abnégation dont vous avez fait preuve. Et je voudrai vous faire part de mes plius vifs encouragements pour continuer et pour aller au bout des réformes, des vraies réformes de fonds que nous attendons et pourquoi nous avons voté NS à la présidentielle.La réforme des régimes spéciaux me laisse perplexe: je crains que ce soit le contribuable et l'usager qui en paient le coût! On a tellement de mal à accéder à une information claire et précise. Mais il reste maintenant des réformes urgentes et fondamentales: merci de ne pas préférer la fidélité à un homme à celle que vous devez au pays et aux engagement pris conjointement avec NS à la rédaction du programme duquel vous avez fortement contribué.Nous, je, comptons sur vous!
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M
Maisons-Laffitte, le 7<br /> mai 2008<br />  <br />  <br />  <br />  <br /> Monsieur le Premier Ministre,<br />  <br />  <br />  <br /> Il est des domaines où l’on ne<br /> peut tolérer d’écart avec les règles du protocole et de la bienséance. Il est<br /> des occasions où il faut réagir promptement et avec toute la fermeté qui s’impose.<br />  <br /> La France, dans ses relations<br /> avec les autres nations du Monde, se doit de n’avoir qu’une seule voix. Les<br /> récents commentaires du Ministre des affaires étrangères sur l’intervention du<br /> Président en Tunisie sont proprement inadmissibles. Il n’appartient pas au<br /> Ministre de commenter les paroles du Chef de l’Etat. Mr Kouchner a<br /> naturellement le droit d’être en désaccord avec le Chef de l’Etat, il peut tout<br /> aussi naturellement lui faire part de ses divergences dans un cadre privé mais<br /> à partir du moment où le Président a arrêté sa position et, ainsi, celle de la France le Ministre des<br /> Affaires Etrangères ne saurait adopter une autre ligne.<br />  <br /> Bien sûr Mr Kouchner, comme tout<br /> citoyen de la République française, a un droit inaliénable à la parole. Si en son âme et conscience il<br /> ne pouvait cautionner la position prise par le Président de la République et s’il<br /> ressentait dès lors l’urgence de porter ce désaccord sur place publique, il lui<br /> appartenait de tirer les conséquences qui s’imposaient et de quitter ses fonctions<br /> ministérielles. S’il ne pouvait se résoudre à abandonner les ors de la République, alors il<br /> devait se taire. N’ayant su faire ni l’une, ni l’autre de ces deux choses, il a<br /> une nouvelle fois mis en porte-à-faux toute la diplomatie française. Eh bien, c’est<br /> une fois de trop !<br />  <br /> La France a choisi N. Sarkozy<br /> pour Président afin de se retrouver. Elle a porté à sa tête un homme qui<br /> l’engageait à retrouver fierté et unité derrière l’autorité d’un Etat fort et<br /> légitime. Cette unité ne saurait être remise en cause par les incessantes<br /> errances d’un Ministre, fût-il d’ouverture. L’enjeu ne doit pas être<br /> sous-estimé. Il ne s’agit de rien moins que ce qui a été le cœur de la campagne<br /> présidentielle de 2 007 : – le renouveau français.<br />  <br /> A l’heure où l’image de la France a déjà été<br /> passablement écornée par notre incapacité à assurer le passage de la flamme<br /> olympique dans de bonnes conditions, où la facture salée de notre valse-hésitation<br /> en terre tchadienne nous est présentée et où la France s’apprête à assumer la Présidence de l’Union<br /> Européenne, l’heure n’est plus à la tergiversation. Vous êtes en charge de la<br /> cohésion gouvernementale et quand les bornes ont été franchies, c’est à vous, Monsieur<br /> le Premier Ministre, que revient la difficile tâche de trancher dans le vif. Si<br /> vous ne prenez pas vos responsabilités, alors c’est à vous – et non au fauteur<br /> de trouble – que les français demanderont des comptes. Car, par votre silence,<br /> par votre absence de réponse, par votre excessive clémence, vous aurez donné<br /> l’impression non seulement d’être frappé de faiblesse congénitale mais de<br /> surcroît vous semblerez  justifier le<br /> contenu de cette initiative malencontreuse.<br />  <br /> Il vous appartient, en tant que<br /> Chef du Gouvernement, de prendre la décision à laquelle votre Ministre des<br /> affaires étrangères n’a su se résoudre. Et puisqu’il n’est pas en votre pouvoir<br /> d’effacer les mots qui ont été prononcés, l’heure est venue de le congédier.<br />  <br /> Le temps n’est plus aux bons<br /> sentiments, il est à l’efficacité.<br />  <br />  <br />  <br />  <br /> Mes respects, Monsieur le Premier<br /> Ministre,<br />  <br /> Médéric L. Pascal<br /> Annexe<br />  <br /> http://www.lefigaro.fr/politique/kouchner-la-phrase-de-sarkozy-a-ete-maladroite<br />  
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F
vous avez bien parlé des multirécidivistes mais pas des victimes et de leur reconnaissance et leur réinsertionhttp://soutien-pierrefauges-educateur.blogspot.commerci de votre action
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A
BonjourQue dire de plus ? Ce bilan nullement démagogique comme le diront certains opposants socialistes est clair et précis, mais surtout prometteur pour les prochaines années !Le temps des réformes tant proné par notre président est bien là et doit se poursuivre. Il en va de l'avenir de la France et des Français.Merci
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