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26 septembre 2007 3 26 /09 /septembre /2007 10:28
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22 septembre 2007 6 22 /09 /septembre /2007 00:22
Ciel clair sur Angoulême, ce lundi 17 septembre, pour la première visite aux armées de François Fillon en tant que Premier ministre. Le chef du gouvernement retrouve avec plaisir un milieu qu’il aime et connaît : passionné par les questions militaires, il a présidé la commission de la Défense à l’Assemblée dès 1986 :
- La professionnalisation des armées ? Je me souviens de l’avoir préconisée il y a vingt ans de ça, rappelle-t-il. Notre monde est instable et violent. Les menaces sont diffuses. Nous devons être à tout moment en mesure d’aller là où les événements appellent la France.
Au quartier Fayolle, en plein cœur de la ville, il est l’hôte du 1er RIMA, un régiment d’infanterie de marine. Les « marsouins » ont participé à l’opération Licorne en Côte-d’Ivoire en 2006. Pour leur visiteur, ils scénarisent quelques situations de terrain, représentant leurs missions et leurs capacités : assistance aux populations civiles ; franchissement et établissement de postes de contrôle ; combat de haute intensité. La façade d’un des bâtiments devient celle d’une gare, devant laquelle un colis suspect a été repéré. Un peu plus loin, de jeunes militaires adoptent pour l'occasion l’armement hétéroclites et le comportement erratique des troupes irrégulières affrontées dans les situations de guérilla. A chaque atelier, un sous-officier expose la problématique au Premier ministre,attentif. Pour terminer les démonstrations, un escadron en alerte « Guépard » à 72 heures et plusieurs équipements représentant une partie de l’avenir stratégique français lui sont présentés : en 2008, le Véhicule Blindé de Combat d’Infanterie, doté de 8 roues et d'une tourelle, succèdera à l’AMX10P à chenilles, vieux de 30 ans :
uniforme2.jpgUniforme.jpg - Votre formation poussée et votre équipement sophistiqués font de vous des spécialistes, rappelle le Premier ministre. Il vous faut pouvoir compter sur les meilleures technologies.
Mais pour l’instant, c’est dans un AMX10RC, à canon de 105mm qu’on lui propose de monter. François Fillon, accompagné du ministre de la Défense, Hervé Morin, revêt la tenue camouflée et le casque réglementaire : assis au poste de pilotage, il devra rester en contact radio avec la tourelle. L’instruction est rapide :
- C’est un très bon pilote auto, et puis un char, c’est très simple à conduire, plaisante le général Cuche, chef d’État-major de l’armée de terre.
François Fillon exécute quelques manœuvres. A sa sortie, les photographes se précipitent pour saisir cette image insolite : le Premier ministre, casqué, reste concentré, mais son plaisir est visible. C’est l’heure d’un repas froid pris à « l’ordinaire », la cantine du marsouin, en compagnie de soldats de tous grades et des personnels civils qui composent le régiment. Debout, les soldats entonnent l’Hymne des troupes de marine, puis un chant nostalgique qui appartient à la tradition du 1er RIMA, « Marie Dominique », sur des paroles du romancier et marin Pierre MacOrlan.

C’est avec les épouses de militaires envoyés en opérations extérieures que le Premier ministre partage le café. François Fillon a été touché par les obsèques de deux jeunes sous-officiers tués en juillet. Il se dit très soucieux du soutien apporté aux familles :
- Votre métier n’est pas comme les autres. Il reste un métier de chair et de sang. Parfois, la mort est au bout de la mission.
Détail révélateur de la proximité qui lie à cet instant le Premier ministre aux hommes du 1er RIMA : pour écouter son allocution, les hommes du régiment quittent l’ordre serré et se massent au pied du mat des couleurs, autour de la tribune :
- Vous êtes allés au bout de vous-mêmes, au bout de la passion de servir et d’agir.
Le Premier ministre reprend à son compte une phrase de l’Hymne des troupes de marines :
- Pour faire un soldat de marine, il faut avoir dans la poitrine le cœur d’un matelot et celui d’un soldat. Je garde cette formule en tête. Elle peut m’être utile pour guider la France.
L’attention des hommes est entière. Leur émotion est forte. Conformément à la tradition militaire, il n’y a pas d’applaudissements.

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18 septembre 2007 2 18 /09 /septembre /2007 18:31
    Ce jeudi 13 septembre, l’environnement était au cœur des préoccupations du Premier ministre : accompagné de Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, et de Roger Karoutchi, secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, François Fillon rendait visite aux enseignants-chercheurs de l’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) sur le site de la ferme de Grignon.
    Situé dans les Yvelines, à 20 kilomètres à l’ouest de Versailles, ce décor champêtre abrite depuis près de deux siècles le meilleur de la recherche française en agronomie. En 1826, le roi Charles X y créait l’Institution Royale Agronomique. Aujourd’hui, c’est AgroParisTech, fusion de trois grandes écoles françaises en agronomie et génie rural, qui occupe le site.  L’école constitue un pôle majeur de l’ingénierie européenne dans le domaine du vivant.
    Accueilli par Madame Marion Guillou, présidente de l’INRA, le Premier ministre visite d’abord une serre. Dans les centaines de pots qui s’alignent, les premières feuilles vert tendre d’une génération nouvelle de végétaux se déploient. Parmi elles, peut-être de nouveaux blés exigeant moins de pesticides, des riz et des maïs plus productifs qui aideront à résoudre le problème persistant de l’alimentation mondiale :
    - Comment ne pas y voir une question stratégique, quand on connaît les problèmes mondiaux d’accès aux denrées ? quand on sait que chaque jour, il y a 200 000 bouches à nourrir de plus ? quand les occidentaux se rendent brutalement compte qu’ils sont peut-être à la merci d’un choc céréalier ? demandera François Fillon quelques minutes plus tard.
Sous le toit vitré, l’atmosphère est idéale pour la croissance des jeunes plantes – moins pour les journalistes qui s’entassent dans l’espace étroit. Leurs objectifs se couvrent de buée. Le cortège ressort. Au bâtiment EGER, on présente au Premier ministre les nombreux enseignants, les chercheurs, leurs étudiants et leurs programmes. Une centaine d’étudiants sont assis sur un talus. François Fillon leur adresse un
discours optimiste :
    - Il faut faire du développement durable une chance et non une contrainte. L’économie de l’environnement, au niveau mondial, c’est déjà près de 35 milliards d’euros. C’est une croissance supérieure à celle du PIB. C’est 10 000 emplois nouveaux chaque année. Bref, c’est une nouvelle donne économique et éthique. La France doit y faire valoir ses atouts.
Les moyens ? Une augmentation d’1,8 milliards d’euros pour le budget de l’enseignement supérieur et de la recherche en 2008 ; l’autonomie des universités, déjà votée ; et la réforme radicale du crédit impôt recherche, bientôt porté à 30% des investissements. Mais c’est peut-être quand il improvise que le Premier ministre est le plus applaudi :
    - Il faut aussi faciliter la vie quotidienne du chercheur, lance François Fillon. C’est tout de même un gaspillage incroyable de vous donner une telle formation, pour vous cantonner ensuite dans des tâches administratives !
Les étudiants approuvent. Le chef du gouvernement remonte en voiture pour gagner, à 30 kilomètres de là, les locaux de VEOLIA, le leader mondial des services à l’environnement. Gestion de l’eau, des déchets, de l’énergie : l’entreprise développe et industrialise des procédés de traitements respectueux, adaptés au développement durable. Sur l’esplanade, le Premier ministre enfile la chasuble et le casque de sécurité jaune vif indispensable à la visite des locaux techniques : d’abord, des chaudières à combustibles spéciaux, puis des bacs où les déchets de retraitement se transforment en compost. François Fillon manipule une poignée de cet engrais naturel :
    - Je l’ai dit tout à l’heure, notre industrie lourde doit anticiper les nouvelles contraintes environnementales pour rester compétitive. Les grands groupes industriels, en particulier, auront la responsabilité d’accompagner et de fédérer les 8 000 PME françaises qui travaillent pour l’environnement. La France doit s’engager à fond dans ce que je veux appeler la « croissance verte ».

                                                                                                               JDL

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4 septembre 2007 2 04 /09 /septembre /2007 23:51
Une heure et demie, pas moins : c’est le temps consacré ce matin par le Premier ministre à explorer le lycée polyvalent Gaspard-Monge, un établissement d’enseignement professionnel situé à Savigny-sur-Orge, sur six hectares de terrain, en bordure de rivière.
GRAN6833-copie.jpg
Installé dans un bâtiment contemporain élégamment profilé en aile d’avion, le lycée Monge possède un pôle de formation aux métiers de l’automobile. Le choix de l’établissement fait sourire le Premier ministre, passionné de course et de mécanique :
-    On va croire que je me fais plaisir !
Très vite, pourtant, l’intérêt du projet d’établissement et la diversité des contacts noués convainquent le visiteur. GRAN6678-copie.jpgGuidé par le proviseur, Monsieur Alain Connant, le Premier ministre visite l’atelier de peinture : derrière la vitre, en combinaison, l’élève qui tient le pistolet effectue des passes croisées, régulières… Sous l’œil attentif de François Fillon, l’aile avant gauche d’une voiture se couvre d’une teinte turquoise tout à fait électrique ! Dans le hall, dans l’atelier de carrosserie, dans l’atelier moteurs, les élèves quittent leur poste pour se faire photographier aux côtés du Premier ministre.
GRAN6760-copie.jpgA chaque fois, François Fillon interroge les élèves sur leurs perspectives d’insertion. De telles formations débouchent-elles bien sur des embauches ?
    - Au fond, commente le Premier ministre, c’est là que réside la cohérence du projet gouvernemental : que la société de la connaissance soutienne le développement de la croissance.  
    François Fillon constate que l’activité du lycée Gaspard-Monge dépasse largement ses murs : comme tous les « lycées des métiers », l’établissement fonde sa performance sur un réseau de liens avec le monde de l’entreprise. Le Premier ministre échange quelques idées avec des représentants de PSA, de Renault et de plusieurs autres grandes entreprises industrielles. Puis il s’entretient avec les partenaires universitaires du lycée : à Evry, à Jussieu, des licences professionnelles accueillent les étudiants des BTS de Savigny. Réunissant des compétences larges et une équipe très motivée autour d’une thématique professionnelle bien identifiée, le « lycée des métiers » permet aux élèves d’atteindre un niveau d’expertise utile. Aux yeux du Premier ministre, la formule fait ses preuves :
-    Et il faut que de plus en plus de lycées professionnels en France évoluent dans ce sens, ajoute François Fillon, qui saisit l’occasion pour annoncer une véritable rénovation de l’enseignement professionnel.

Ses axes ?GRAN6787-copie.jpg
-    Rénover les diplômes, pour qu’un minimum d’étudiants quitte le système sans qualification;
-    fluidifier les parcours, en multipliant notamment les passerelles avec l’apprentissage ;
-    créer un bac professionnel en trois ans ;
-    labelliser un nombre accru d’établissements – il n’existe aujourd’hui que 331 « lycées des métiers »;
-    rendre plus lisible la carte des formations offertes.
Sur tous ces points, le ministre de l’Éducation nationale, Xavier Darcos, fera des annonces précises dès jeudi, à Reims. Au terme de la visite, le Premier ministre semble conforté dans ses convictions :
- L’enseignement professionnel est une filière essentielle, rappelle-t-il avec force. Il n’y a pas de filières principales et de filières secondaires !

François Fillon n’est pas le seul à avoir apprécié la matinée. Pour l’occasion, tout le lycée a contribué à mettre les locaux en ordre, au grand plaisir de l’intendante, qui sourit :
    - Des visites comme ça, il en faudrait une tous les ans !

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31 août 2007 5 31 /08 /août /2007 19:44
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Le premier ministre a reçu hier soir à Matignon l'équipe de France de Rugby pour une rencontre conviviale. Il leur a adressé un chaleureux message d'accueil commençant ainsi : "Au cours des dernières semaines, comme à Marseille, le 18 août dernier, lors du match France - Angleterre, vous avez pu mesurer le soutien des Français. Cette mobilisation chaleureuse, elle va vous accompagner durant les sept prochaines semaines. Grâce à vous et avec vous, le pays va vibrer, s’enthousiasmer et se rassembler. Si je vous reçois ce soir, c’est d’abord pour vous dire que la France se tient à vos côtés. Elle s’y tient en portant en elle les valeurs qui font la singularité du rugby : le courage et le respect, la fierté et l’amour du jeu, mais aussi un esprit de fête". 

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En conclusion, il leur a adressé cet encouragement, au nom de tout le pays : "A vous tous, je souhaite de vivre pleinement et intensément les prochaines semaines. Vous porterez le maillot de la France. Vous l’avez mérité. Et je suis sûr que vous allez le mouiller. Donnez le meilleur de vous-même. Prenez du plaisir. Les Français sont à vos côtés et vous savez qu’ils vous supporteront dans les beaux moments comme dans les plus durs. Rien n’est impossible au coq gaulois. Bonne chance et bonne Coupe du monde".

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24 juillet 2007 2 24 /07 /juillet /2007 09:41

Passé toute la nuit au téléphone avec le Président de la République et le ministre des affaires étrangères pour la phase finale de la négociation pour la libération des infirmières bulgares !

L’énergie de Nicolas Sarkozy, l’engagement total du président de la commission européenne, la présence très symbolique à Tripoli de l’épouse du chef de l’Etat ont mis fin au cauchemar que vivaient ces femmes ainsi qu’un médecin palestinien depuis plus de huit ans.

Fier de la France !

 

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24 juillet 2007 2 24 /07 /juillet /2007 09:31
François Fillon s'est rendu hier, lundi 23 juillet 2007, à Argenteuil, avec Martin Hirsch, pour rencontrer des bénéficiaires de minima sociaux et des responsables locaux chargés de la mise en œuvre du RSA (revenu de solidarité active). La rencontre a été franche et précise. François Fillon a rappelé l'état d'esprit du gouvernement sur cette réforme très importante : le RSA  - qui est fondé sur la conviction que le travail est à la source de la dignité individuelle - vise à éliminer ces situations absurdes où on n'a pas intérêt à reprendre un emploi parce que la perte des aides et les coûts supplémentaires (notamment de transports) risquent de ne pas être compensés par le salaire. Ces situations sont profondément décourageantes et choquantes. Le RSA, qui sera d'abord expérimenté dans une vingtaine de départements, va permettre de corriger ce problème de fond.

Tous les participants à cette réunion ont insisté sur le fait que ce dispositif relançait leurs espoirs parce qu'il leur redonnait une raison de travailler : "l'espoir fait vivre, mais les moyens ça aide aussi !", a dit l'un d'eux.  François Fillon a notamment été frappé par le témoignage d'une mère de cinq enfants qui a subi des violences conjugales et un licenciement économique, et qui touche aujourd'hui le RMI : "je suis tombé de haut. On n'est pas au RMI parce qu'on le veut. Le travail est une valeur. Je veux travailler, j'en ai assez qu'on me dise que je n'ai qu'à toucher des aides sans travailler !". De même, une titulaire de l'API (allocation de parent isolé) a expliqué qu'elle se voyait parfois obligée de refuser certaines offres d'emplois parce que les salaires proposés ne lui permettraient pas d'élever son enfant. Le premier ministre a trouvé ces interventions particulièrement révélatrices du système actuel. Il a rappelé qu'il ne s'agissait pas de stigmatiser les bénéficiaires de minima sociaux mais de rompre avec un système qui les enferme dans une assistance prolongée. A une dame qui s'inquiétait que les dispositions sur le RSA en examen actuellement au parlement puissent éventuellement être rejetées, François Fillon a répondu en s'engageant fermement : "je peux vous assurer - a-t-il dit - que cette loi sera votée ; notre objectif est que le RSA soit en application en octobre prochain".

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19 juillet 2007 4 19 /07 /juillet /2007 17:00

A l'occasion d'une interview sur France 3 le 17 juillet 2007, le Premier ministre a suggéré que le dispositif prévu par la prochaine loi sur le service minimum dans les transports terrestres puisse éventuellement être étendu au système éducatif s'il s'avérait bénéfique pour les usagers du service public. Cette proposition fait débat. Qu'en pensez-vous ?

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16 juillet 2007 1 16 /07 /juillet /2007 10:44

Emotion le 14 juillet quand les petits chanteurs à la croix de bois ont entonné le chant des partisans devant la tribune officielle où se trouvaient les représentants des nations européennes pour la première fois rassemblées depuis un demi siècle par un projet politique commun.

Emotion le 14 juillet dans le parc de l’Elysée quand des centaines de françaises et de français victimes de la vie, se pressaient pour une photo,  un mot d’espoir, une fierté partagée.  Les habituels invités de la « garden party » semblaient perdus au milieu de toute cette joie anonyme !

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23 juin 2007 6 23 /06 /juin /2007 15:40

Je me  réjouis de l’accord intervenu dans la nuit lors du sommet de Bruxelles et du succès obtenu par le Président de la République. Grâce aux efforts qu’il a déployés pour parvenir à cet accord en étroite coordination avec Mme Merkel ainsi qu’avec les premiers ministres espagnol, britannique, luxembourgeois et le Président polonais, la France, aujourd’hui, est bel et bien de retour au centre du jeu en Europe.

Il a montré aussi que, dans son action inlassable en faveur d’un traité simplifié, il avait eu à cœur de prendre en compte l’avis de tous les Français, qu’ils aient voté oui ou qu’ils aient voté non à la Constitution européenne.

Ainsi, dans ce traité qui n’est plus une Constitution, la concurrence libre et non faussée ne figure plus au rang des objectifs de l’Europe, alors que la protection des citoyens a été ajoutée à ces objectifs. Le texte défend la place des services publics grâce à un protocole juridiquement obligatoire. Enfin, le  contrôle des parlements nationaux sur les propositions de la Commission est renforcé.

Mais pour autant, l’Europe, grâce à ce traité, fonctionnera mieux, comme le souhaitaient tous les partisans de la construction européenne. Ainsi, le champ des décisions prises à la majorité qualifiée est élargi, ce qui permettra en particulier une meilleure coopération en matière pénale, afin de mieux assurer la sécurité des Français. Une Présidence stable du Conseil européen a été instituée. Le Haut représentant pour  les affaires étrangères et  la politique de sécurité aura des pouvoirs et des moyens accrus. Enfin le traité  contient une référence à la Charte des Droits fondamentaux qui lui donne une valeur juridique identique à celle des traités.

Grâce à ce succès, l’Europe est relancée.

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22 juin 2007 5 22 /06 /juin /2007 14:54

Je réfléchis depuis plusieurs jours à l’avenir de ce blog.

Je n’entends pas renoncer à ce lien original noué avec quelques milliers de français. Pour autant je ne serais pas honnête si je prétendais avoir le temps d’écrire plusieurs fois par semaine mes réflexions, mes analyses et mes coups de cœur, lire tous vos commentaires et, mieux encore, y répondre.

J’ai donc décidé de demander à deux de mes plus proches collaborateurs de poster régulièrement des réflexions liées à l’actualité qui permettront d’engager le débat avec tous les visiteurs de ce blog.

Je continuerai de modérer les commentaires, d’y répondre chaque fois que je le pourrai. Je publierai moi-même des articles lorsque j’en ressentirai le besoin et que j’en aurai le temps.

J’utiliserai aussi ce blog pour rétablir la vérité lorsqu’elle est trop grossièrement travestie comme ce fut le cas pour cet incident survenu sur le circuit du Mans.

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22 juin 2007 5 22 /06 /juin /2007 14:17



Pan sur le bec !

Le « canard enchainé » prétend que j’ai cassé une Audi RS4 de la direction de course lors du tour d’honneur précédant le départ des 24 heures du Mans.

Je comprends que la présence d’un Premier Ministre sur un circuit automobile soit déroutante pour les journalistes du Canard, vu qu’il s’agit d’une première, mais cette surprise ne les autorise pas à transformer une banale panne d’embrayage en destruction d’une voiture de 77000 euros, immédiatement évaluée en nombre de SMIC.

Je tiens à rassurer le « canard » : Je n’ai fait prendre aucun risque inutile à notre nouveau ministre de la santé, de la jeunesse et des sports pour laquelle j’ai beaucoup d’affection. Quant à la voiture, elle roule normalement après une réparation qui n’a pas mis les finances de l’automobile club de l’ouest à plat !

Je pratique le sport automobile depuis vingt ans. Je n’ai pas l’intention de m’en excuser et encore moins d’y renoncer.

A me suivre sur les circuits automobiles, peut être le « canard » finira t il par se prendre pour "l’équipe" !

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